Dans ce
roman publié en 1933, Pearl Buck évoque la vie quotidienne d’une jeune femme,
paysanne chinoise avant
Elle raconte la dureté de la vie de cette paysanne avec son mari, sa
belle-mère, les enfants que chaque année lui apporte mais aussi ses joies
simples et lumineuses. Elle ne décrit pas seulement la misère mais aussi
l’espoir, le courage, la volonté et l’amour.
Le réalisme de Pearl Buck et une immense tendresse sont bouleversants et
rendent ce roman particulièrement attachant.
Pearl Buck est une
femme de lettres américaine née dans l'état de Virginie le 26 juin 1892, et
décédée le 6 mars 1973 dans le Vermont.
Alors qu'elle n'a que 3 mois, ses
parents missionnaires partent en Chine près de Chinkiang, puis à Shanghaï. Elle
va alors apprendre le chinois. Elle fait ses études universitaires en Virginie,
puis retourne en Chine où elle épouse John Buck, un ingénieur agronome
américain en 1917, avec qui elle part en Chine du Nord.
En 1930 paraît son
premier roman inspiré par
Elle est la première femme à obtenir le Prix Pulitzer en
1932 pour "
Dès lors, la production littéraire de Pearl Buck est foisonnante et comprend
des romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des essais, des recueils de
poèmes et même un livre de cuisine. La plupart évoque le pays de son enfance et
s'inspire de l'art populaire chinois. Ses œuvres, écrites dans un style simple
et concis, communiquent au public occidental son amour pour
En 1934, Pearl Buck quitte
Pearl Buck reçoit le Prix Nobel de littérature en 1938 pour "ses
descriptions riches et épiques de la vie des paysans en Chine et pour ses
chefs-d'œuvre biographiques".
Tout en continuant d’écrire, Pearl Buck va désormais consacrer son temps et sa
fortune à la création de fondations pour promouvoir l’adoption d’enfants
eurasiens et aider à une meilleure compréhension entre l’Europe et l’Asie.
Elle crée en Pennsylvanie une fondation pour l'adoption
des enfants abandonnés et y consacre temps et argent.
Pearl Buck meurt d'un
cancer en 1973, en laissant un oeuvre de quatre-vingt-cinq livres.
Durée : 7 h 42 min.
Lu par Emmanuelle LAFFERRIÈRE-HAMEL.
Le
livre audio se présente sous la forme de 35 plages, de 8 minutes pour la plus brève à environ 18 minutes pour la plus
longue).